Catalogue OAI du consortium CAHIER

Anne-Marie Gigon

Anne-Marie Gigon 02-07-1916

1900
2018
Giancarlo Luxardo (édition)
Praxiling, UMR 5267

Le Dimanche 2 Juillette 1916 Mon cher Jean Marie Je repond a ta lettre que jai recu le 29 que tu avait fait le 27 Jai tardé un peu a te repondre car je trouvé quil etait tar ces soir ci jai profité du dimanche pour técrire je suis toujour con- tente que tu est toujour en bonne santé tant qua nous ont est tous en bonne santé pour le moment et je desire que ma présente lettre te trouve de même il fait du beau temp pour le moment on a commencé a fauché du foin dans nos prés on a fauché un peu avec la draq mais on en guerre fauché car cest trop versé sa ne marche pas bien Jai demandé sauvé et pierre Larché il viendront une journée sa nous fera déja de la fanerie mais il ne peuvent pas venir avant mercredi Jai a te dire aussi que papa est chez nous pour le moment il est arri- vé de mercredi dernier il a fait le tour dans dans les près pour fauché et puis il nous a fauché la graine de treffe je ne sais pas sil resteras bien longtent car Eugénie est venu voir maman hier elle est bien prisse aussi elle car son domestique quelle avait loué ne lui est point venue et Aimée qui na personne aussi pour son foin Jai a te dire aussi que Henrie Maillar sest envenue pour six jour il ma dit que il fallait que je te souhaité le bonjour pour lui Breolé est arrivé pour 15 jour aussi je te dit aussi que la cotentine a vélé elle a fait une cl genisse Jetait en train de faire ma lettre Breolé et sa femme et Rose ont arrivé pour reglé il ma dit que il fallait te souhaité le bonjour pour lui il ma dit que pierre mégné etait avec lui et quil est arrivé aussi lui sa nest plus pa- reille que toi car il ne sont pas loin eux je pense que tu ne pouras t pas en avoir toi car tu est trop loin que veut tu il ne faut pas te trascassé pour on feras comme on pourra je ne voit pas autre chose a te dire pour le moment que de te dire que cette maudit guerre ne fini pas souvent pour ce mom- ent ont nous dit que cest terible Je fini ma lettre en tembrassant de loin et en attendent le moment de pouvoir le faire de plus pré ta femme qui taime et qui pense a toi et ainssi que tes enfant Anne Marie Gigon