Catalogue OAI du consortium CAHIER

Anne-Marie Gigon 16-10-1916

1916
2018
Praxiling, UMR 5267Université Paul-Valéry Montpellier34199 Montpellier Cedex 5

Le Lundi 16 octobre 1916 Mon cher Jean Marie Je técrie cest quelles mots pour te dire que jai recu hier Dimanche ta lettre que tu avait fait vendredi Je suis toujour contente que tu est en bonne santé tant que nous ont est tous en bonne santé pour le moment et je désire que ma lettre te trouve de même. maman va mieux ces jours ci elle avait etait plusuier jours que sa nalait pas si bien il y a des fois quelle est mieux et des journés quelle nest pas si bien papa est toujour le même pour le moment mon frère est arrivé il a une permission de 15 jours et puis il dit que en rentrant ils pense que il lui faudras retourné au front sa nest guerre encouragent de retourné après avoir vue comme lui tout cela cest bien trisse et ne pas savoir quand sa finiras ils sont venue voir maman hier mon frère et sa femme et sa fille et pierre désesdavy et sa femme et leurs enfants Mon cher Jean Marie je voudrais bien que tu serait sortie de cette zone des armée car tu pourait quelques fois avoir des permission sa me ferais bien plaisir car en ce moment il y a beaucoup docupasions et moi qui naime si guerre a faire du commerse et puis je ne connais rien aussi pour le moment on na encore une vache de malade, cest la mirodé samedi au soir quand je laies ait ramassé elle navais rien, elle était bien portante, et puis Dimanche matin elle avait mal a une Jam be dans le bas de le Jambe elle la enflé tout a fait gros je ne savais pas ce que lui faire je lui ait graté le pied et je ne lui ait rien vue je croyais que cetait peut être une entorse mais aujourduy je crois bientôt que cest un coup de sang car elle a les yeux si rouge et si plein de peu quand jai vue cela jai etait demandé a Rubillar du domainne pour venir la saigné et il est venu il lui a tirais une bonne saigne elle est un peu mieux elle pouille un peu mieux mais elle a le bas de la jambe enflé p bien gros mais je crois quelle avais besoin dêtre saigné car elle va un peu mieux je pense que sa va se passé comme cela pierre Larché est redevenue de bon compte te" il suit les chevaux tout les jours il etait chez Bréolé aujour dui et demain aussi. ont nen a encore tous a faire un peu Je fini ma lettre en tembrassant de loin et en attendent le mo- ment de pouvoir le faire de plus près ta femme qui taime et qui pense a toi et tes enfants aussi qui te souhaite un grand bonjour et doux baisé Anne Marie Gigon Aurelie et Françis Auffray