Catalogue OAI du consortium CAHIER

Anne-Marie Gigon 17-02-1917

1917
2018
Praxiling, UMR 5267Université Paul-Valéry Montpellier34199 Montpellier Cedex 5

Le samedi 17 février 1917 Mon cher Jean Marie Je técrie deux mots pour te dire de nos nouvelles et pour en recevoir des tienne ont est tous en bonne santé pour le moment et Je désire que ma petite lettre te trouve de même mon frère nous a écrie aujourdui il dit que sa blésure vas bien mieux et quil satent senvenir en peut de temp il ma deman- dé ton adresse Je lui lai envoyér je lui avais répondu a son autre lettre mais il ne lauras peut être pas recu car il avais changé de secteur il mavais mit le secteur 133 et aprésent il est secteur 176 il dit quil a deja changé deux fois depuis quil est retourné Je ne vois pas grand chose a te dire que hier et aujour dui que sa dégèle il nest pas trop tôt le grain ne seras pas perdu Je ne crois pas mais les navets et les chaux aus Je crois quil sont fricassé. Je pense que lon pourras mené lavoine et le cidre les premier jours ont na mené le veaux a la neuve vendredi il avais Juc 4 semaine Je laurais bien gardé une semaine de plus mais Javais peur quil aurais diminuer car il nous ont taxsé le beurre il en feront peut être autant a dautre chose il on taxsé le beurre a 45 sous la livre et il vende le son 150 fr 15fr le sac le veaux nétait pas bien lour il faisais 104 livres cest madeleine qui la mené il lui on donnée 103, fr et dix sous les cochons on nen a tué un Jai envie de gardé les deux autres une quinsaine Je voudrais quil ferais 500 les deux il valle 24 sous maintenent Je ne pense pas quil doivent diminuér. Jai a te dire aussi que Maturin sauve des gassse est arrivé et boin aussi Je pense car il ont renvoyér ces deux classe la Je voudrais bien quil en ferais autent a ta classe mais Je sais bien quil ne te renvoiy ront pas Je naurais pas cette chance la mais il faut bien durée. Je suis contente que tu est en équipe car il ne vas pas ten tennyer comme au dépôt. Je fini ma lettre en te souhaitent un grand bonjour et en tembrassant de loin ta femme qui taime et qui pense a toi Anne Marie Gigon